La guerre. Encore la guerre. Toujours et nécessairement la guerre ? C'est la triste réalité qui se dévoile aux yeux du monde entier, désillusionnant l'homme ordinaire qui, jusqu'ici n'imaginait pas que les médias et les hommes politiques puissent mentir si ouvertement, si forcènement. En effet, face à l'échec de la guerre en Ukraine dont la narrative mensongère ne pouvait plus être servi à l'opinion public sans risque de perdre définitivement l'audience, il fallait un substitut pour occuper les consciences des peuples : la guerre à GAZA ! Cette guerre déclenchée sur des prétextes bidonnés a pourtant des conséquences bien réelles et bien plus dramatiques sur les populations locales, et bien au-delà même des frontières de la bande de GAZA.
Préambule
Je commets cet article, comme une nouvelle habitude, un nouveau devoir. Le devoir de ne pas parler pour rien quand il s'agit du sort de mon peuple, et du sort de l'humanité toute entière. J'ai depuis plusieurs années, pris la parole publique pour exprimer mon point de vue sur des sujets importants, sans filtres, dans la vérité de mon cœur et de mon âme.
J'ai été et je suis souvent censuré, systématiquement "shadow banné" depuis des années. Ce qui fait que malgré mes efforts pour prévenir l'Afrique du plan d'extermination silencieuse, minutieusement préparé contre elle par la France et ses partenaires mondialistes, mes messages n'ont pas encore atteint un écho satisfaisant, pour faire basculer les choses en faveur du vivant.
Loin de blâmer la censure et les autres, je considère que c'est une invitation qui m'est faite pour améliorer ma façon de communiquer et de travailler davantage, car ce monde que nous voulons voir, ne saurait être celui-là qu'ils nous ont préparé. Je refuse. Et je m'attèle à faire ma part, en produisant de la réflexion et la mise en oeuvre concrète de mes idées afin de préparer une alternative au système politique actuelle, fondé sur l'esclavage et l'asservissement du vivant.
Par ailleurs, le fait d'accompagner désormais mes discours par un article détaillé, préalablement rédigé, me permettra de gagner en clarté dans mes propos, et surtout, de fournir à mon audience, les éléments qui structurent ma réflexion, toute chose étant par ailleurs, vérifiable.
Les enjeux sont clairs : le monde que nous voulons léguer aux futures générations, ne dépendra que de la volonté commune des peuples. Encore faut-il que cette volonté soit éclairée et son expression non biaisée. Ce contre quoi travaillent les médias traditionnels, ces médias qui voguent de guerre en guerre, de mauvaises nouvelles en mauvaises nouvelles, rien que pour occuper les esprits et les consciences à tout prix !
Et pour servir la cause de leur guerre à tout prix, les médias utilisent tous les moyens de manipulation utiles et nécessaires, pour rendre la guerre inexorable, et l'installer in fine sur le champ de bataille militaire. C'est une guerre d'un nouveau genre, à l'ère des réseaux dits "sociaux" (mais qui n'ont de "sociaux" que le vide et la distanciation sociale qu'ils installent entre les Hommes et entre les peuples).
Je vous propose donc ci-dessous les éléments et les idées principales qui seront abordées lors de mon discours.
[Discours] - Thème : "Gaza et le mythe élu de Dieu"
Le monde est à nouveau en guerre. Le problème, c'est que la guerre à GAZA pose un problème ! Principalement en raison du timing de son déclenchement. Soit, à peine après l'échec de la narrative mensongère de la guerre en Ukraine, qui elle-même a succédé à la narrative mensongère du COVID-19, la guerre à GAZA est déclenchée sur des prétextes fallacieux, manifestement bidonnés, à en croire toutes les incohérences relevées par les médias(y compris mainstream), relatives à l'attaque du HAMAS.
Impossible de réprimer son fou rire face à l'horreur
Les filles israeliennes otages du HAMAS
La propagande de guerre repose sur des mensonges, mais entraîne des destructions réelles de vies humaines
Les festivaliers ont été assassinés par des hélicopteurs israeliens
Certaines des photos les plus horribles du gouvernement israélien, montrant des cadavres carbonisés et des "corps brûlés au point d'être méconnaissables", pourraient donc en réalité représenter des victimes infligées par Israël. Le site d'information israélien YNET a publié des images d'hélicoptères Apache israéliens bombardant des civils en fuite au Festival de musique Supernova, festival qui a été déplacé de son lieu initialement prévu, deux jours avant les attaques.
Des bombes ont été larguées par des hélicoptères israéliens sur des centaines de civils et de véhicules tentant de s'échapper sur le terrain vide. Vingt-huit hélicoptères de combat israéliens ont tiré toutes les munitions qu’ils détenaient, y compris des centaines d’obus de 30 mm et des missiles Hellfire au cours de la journée.
Les équipages de chars ont reçu l’ordre de bombarder les maisons, sans tenir compte des otages israéliens potentiellement présents à l’intérieur.
Ce qui est confirmé par d’autres vidéos provenant de l’intérieur des kibboutz montrant des cadavres couverts de décombres suite aux obus.
Haaretz, Middle East Monitor et The Grayzone confirment que les forces israéliennes ont bombardé les maisons de leurs propres citoyens, entraînant un nombre incalculable de morts israéliennes évitables.
Une Israélienne, Yasmin Porat, qui a survécu à l’offensive du Hamas le 7 octobre, affirme que des civils israéliens ont "sans nul doute" été tués par leurs propres forces sécuritaires. "Ils ont liquidé tout le monde, y compris les otages".
La révélation a été faite par ce colonel de l'armée de l'air Nof Erez ( limogé par la suite ) il dit dans son interview je cite... " nous sommes intervenu avec nos apaches ( hélicoptère) et avons fait feu sans aucune distinction entre hamas et civils sous la directive HANNIBAL"
????‼️ REVELATIONS : une enquête officielle israélienne confirme que des fêtards du festival de musique Nova ont été tués par des tirs d'hélicoptère Apache israélien. L'enquête ajoute que le Hamas n'aurait pas été au courant de l'existence de ce festival avant d'arriver à… pic.twitter.com/3I3umFJLOA
— Charlies Ingalls Le Vrai ???????????????????????? (@CharliesIngalls) November 19, 2023
7 OCTOBRE : RÉVÉLATIONS SUR LES MASSACRES - LE MÉDIAMENSONGE DU JOUR - N°10
— Investig'Action (@InvestigAction) November 10, 2023
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La presse internationale face à la grossièreté du mensonge...
L’armée israélienne a invité lundi 23 octobre des journalistes internationaux à visionner, pendant plus de quarante minutes, des vidéos d’assassinats et d’exactions du Hamas. Une seconde projection est prévue mercredi. En montrant ces images particulièrement choquantes, Israël entend rallier l’opinion étrangère à sa cause. Quarante minutes de massacres perpétrés par le Hamas ont été diffusées devant plus de 150 journalistes internationaux conviés, lundi 23 octobre, à la base militaire de Glilot, dans le nord de Tel-Aviv.???? ISRAEL EN GUERRE: Les autorités israéliennes ont diffusé une vidéo des atrocités commis par le Hamas le 7 octobre dernier aux journalistes étrangers présents en Israël. Une vidéo de plus de 40 minutes qui ne peut être diffusée sur aucun média. Plusieurs journalistes présents… pic.twitter.com/3yJILSKQtD
— Jonathan Serero (@sererojonathan) October 23, 2023
GAZA, l'autre apartheid
Les habitants de Gaza sont sous blocus depuis 16 ans. Il est interdit aux habitants de la bande de sortir ou de rentrer dans leur pays, sans l'autorisation d'Israel d'une part, et d'autre part, sans l'autorisation de l'Egypte. La terre, l’air et la mer sont contrôlés par Israël. C'est donc une ville en bord de mer et les pêcheurs ne sont pas autorisés à dépasser une certaine limite des côtes pour jeter leurs filets. L'eau n'est pas potable. Et il n'y a que quelques heures d'électricité par jour. Les points de passage utilisés par les Palestiniens pour aller travailler en Israël avant 2007 sont continuellement ou ponctuellement fermés. Toute migration est interdite. Le blocus concerne également l’espace aérien et les eaux territoriales où la présence des forces militaires israéliennes est importante.
Le chômage est incroyablement élevé pour une population de plus de 2 millions d’habitants, dont la moitié est composée d’enfants.
Une fois par an, ou des fois tous les deux ans, l’armée israélienne fait ce qu’elle appelle « tondre la pelouse ». C'est à dire qu'Israel décide de bombarder, de détruire et de démanteler des quartiers entiers, des familles entières, des immeubles résidentiels entiers, des bâtiments médiatiques et des hôpitaux... Et des centaines de Palestiniens ont été ainsi assassinés, sans que cela n'émeuve davantage la communauté dite "internationale".
Même si le Hamas n'avait pas mené les attaques qu’il a menées, il y aurait toujours eu un blocus sur GAZA, et le peuple palestinien continuerait à être décimé à petit feu, au rythme de la volonté d'Israel.
Les médias occidentaux, en refusant depuis des années, à s'attaquer à la cause profonde de la résistance du HAMAS, se sont rendus complices des crimes de guerre commis par Tshahal. Et la seule vraie solution ici est de mettre fin à l’occupation, de mettre fin au système d’apartheid et de donner enfin au peuple palestinien son droit au retour et à l’autodétermination et que les Etats-Unis coupent leur soutien politique et économique à ISRAEL.
Pas de droit à la vie privée pour les palestiniens
Depuis l’occupation de 1967, Israël a progressivement resserré son contrôle sur le secteur des technologies de l’information et de la communication en Cisjordanie et à Gaza, au mépris des accords d’Oslo, en vertu desquels Israël est censé progressivement transférer le contrôle aux Palestiniens.
Au-delà de la violation des droits des Palestiniens, la surveillance israélienne des communautés palestiniennes a aussi d’importantes conséquences pour la communauté internationale.
L’absence de responsabilité, de transparence et de régulation concernant la vente et la fourniture d’outils de surveillance menace les communautés marginalisées, les défenseurs des droits de l’homme, les universitaires et les journalistes dans le monde entier.
Israël étouffe tout progrès technologique dans les communautés palestiniennes tout en contrôlant l’infrastructure qui soutient l’État de surveillance.
Les autorités israéliennes ont la possibilité d’écouter toute conversation téléphonique en Cisjordanie occupée et à Gaza – et en plus de cela, tout appareil mobile importé à Gaza via le poste-frontière de Kerem Shalom se voit implanter un micro espion israélien.
« Le danger ne concerne plus seulement les Palestiniens en Palestine. Cela va bien au-delà maintenant. C'est exporté, l'idée selon laquelle on peut exporter l'occupation, on peut exporter les outils de l'occupation, les outils de l'apartheid.» C'est ce que révèle je journaliste indépendant Antony Loewenstein, dans son livre (anglais)"How Israel Exports the Technology of Occupation Around the World"
Loewenstein soutient qu’Israël s’aligne sur les dirigeants d’extrême droite, promouvant une vision du monde ethno-nationaliste et autoritaire et rendant le despotisme « partageable avec une technologie compacte ».
Le système de surveillance exporté en Afrique
«Il est plus facile d'avoir du budget pour un supercalculateur»
La surveillance massive des données de communication, qui a peu à peu supplanté le renseignement humain, En 2008, le livre blanc de la défense et de la sécurité nationale propose ainsi d'augmenter les «investissements techniques dans les budgets annuels des services de renseignement». Tout voir et tout entendre pour tout savoir. L'idée a séduit les responsables politiques : la collecte massive des données transitant par les câbles sous-marins, instaurée en 2008, est toujours à l'œuvre Elle a même été gravée dans le marbre législatif depuis l'adoption de deux textes, dont la loi renseignement. Claude Moniquet, ancien de la DGSE, avance une explication à cette fuite en avant technologique : «Il est plus facile d'avoir du budget pour un supercalculateur que pour des hommes de terrain.» (Source : https://www.liberation.fr/france/2015/11/25/le-piege-du-tout-technologique_1416194/)Certaines des photos les plus horribles du gouvernement israélien, montrant des cadavres carbonisés et des "corps brûlés au point d'être méconnaissables", pourraient donc en réalité représenter des victimes infligées par Israël.
Concernant la sécurité des villes, nous pouvons donner l’exemple de la ville de Memphis aux États-Unis qui utilise le supercalculateur « Blue Crush ». Ce dernier collecte et analyse toutes les données sur la criminalité de la ville et permet ainsi de prévoir où et quand les crimes seraient susceptibles d’être commis au sein de cette ville.
Le Big Data a fait cependant ses preuves davantage dans le domaine politique.
La campagne d’Obama de 2008 est la première de l’histoire remportée grâce aux big datas, analysées pour cibler les électeurs indécis. La moindre trace d’opinion politique exprimée sur Internet et l’équipe frappait à votre porte pour vous rappeler pour qui voter.(Source )En 2012, grâce à des données personnelles massives issues de Facebook et de Google, ainsi qu’au savoir-faire de ses sociétés américaines, l’État américain sous la présidence d’Obama, lance un fonds de recherche sur le Big Data subventionné à hauteur de 200 millions de dollars. In fine, il a été révélé que ces recherches ont permis de cibler les potentiels et nouveaux électeurs d’Obama pour ainsi le faire réélire une seconde fois. On parlait alors du « Big Data President ». (Source : https://www.lafinancepourtous.com/decryptages/finance-et-societe/nouvelles-economies/big-data/les-applications-du-big-data/)
Au nombre des données collectées par les services de renseignement français dans nos territoires, sont :
Les flux entre Français et étrangers seraient également surveillés. La gigantesque masse de données collectées serait stockée dans les serveurs informatiques de la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure), dont le siège est situé dans le nord-ouest de Paris.Parmi les données collectées, les spécialistes du renseignement français ne s'intéressent pas au contenu des conversations mais au contenant, ce que l'on appelle les métadonnées. L'objectif est davantage de savoir qui parle à qui, de quel endroit et quand. Les informations récoltées sont en effet exploitées pour favoriser la lutte contre le terrorisme. Relevés téléphoniques, SMS, courriels, activité sur les réseaux sociaux... tout y passe. L'analyse et le traitement des données sont assurés par la présence sur place d'un supercalculateur, un ordinateur doté d'une très grande puissance informatique. D'après « Le Monde », les autres services de renseignement comme la DCRI (Direction centrale du renseignement intérieur), les douanes ou TracFin (lutte contre le blanchiment d'argent), ont également accès à la base de données de la DGSE. (source: https://www.lesechos.fr/2013/07/les-services-secrets-francais-sont-aussi-adeptes-de-la-cyber-surveillance-325491)
Dans le cadre de la décennie numérique, le CHP est essentiel à la prospérité future, à la transformation numérique et à la résilience de l’Europe. Grâce à un financement de 7 milliards d’euros au titre d’Horizon Europe, du programme pour une Europe numérique et du mécanisme pour l’interconnexion en Europe, la Commission renforcera les investissements dans le supercalcul.
Le Monde est en mesure de révéler que la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE, les services spéciaux) collecte systématiquement les signaux électromagnétiques émis par les ordinateurs ou les téléphones en France, tout comme les flux entre les Français et l'étranger : la totalité de nos communications sont espionnées. L'ensemble des mails, des SMS, des relevés d'appels téléphoniques, des accès à Facebook, Twitter, sont ensuite stockés pendant des années(...). Les politiques le savent parfaitement, mais le secret est la règle. (Source)